Repas de fin d'année 2010

Publié le par Association des Cyclotouristes Figeacois

                        Salle des Fêtes de Saint Jean Mirabel – 19h30 – les premiers convives commencent à arriver accueillis par le sourire de notre trésorier et sa charmante épouse, Anne, qui commençait à en avoir assez de ne rien voir venir. Il fait bon se retrouver ensemble au chaud alors que dehors le sol reste glacé. S’ils sont venus, ils ne sont pas tous là puisque nos cyclos, réunis pour le repas de fin d’année, malgré un peloton raisonnablement fourni, déplorent l’absence de quelques leaders. A défaut de quantité, la qualité y est : Daniel, notre Président, souhaite la bienvenue et se dépêche de passer la parole à son vice président Guy, qui sonne le glas de l’ex-futur voyage en  Corse et nous propose Cambrils : olé ! Espana por favor !

                        Après un apéritif roboratif nous passons à table. Une fois le Trou quercynois éclusé, le D.J. nous engage à commencer à digérer à l’aide d’un vivifiant paso doble (décidément l’Espagne était au menu !). Le repas suit son cours alternant plats et tangos (honneur à l’Argentine !) jusqu’au dessert arrosé d’une Clairette de Die. Les endiablés dansent, les empotés papotent entre les chaises jusqu’à minuit (bonsoir Cendrillon !) et quelques-uns quittent piste ou table amorçant un reflux vers la sortie.repas-fin-d-annee-2010-040.jpg

                        Mais la maréchaussée veillait. A l’entrée de Figeac, au pont du Pin, après avoir soufflé sur leurs doigts pour les réchauffer, les chauffeurs soufflent dans le ballon pour prouver leur sobriété. Et là, miracle de Noël, pas un de ces joyeux fêtards ne sera contrôlé positif ! On était tout de même passé près de la correctionnelle : punch, Gaillac, trou quercynois, Cahors, Clairette... Si Jésus avait réussi aux noces de Cana à changer l’eau en vin, eux avaient changé le vin en eau : 0,00 degré !

Pendant que certains soufflaient, d’autres s’essoufflaient sur la piste aux rythmes de plus en plus endiablés du DJ, qui enchainait madisons, rock n’roll et « l’Aviron Bayonnais » qui termine traditionnellement les soirées festives. Tout s’était bien passé jusqu’au moment où Guy B. craqua ! Pour être précis, sa chemise craqua ! Que s’était-il passé exactement : est-ce Nicole qui se cramponnât trop violement à la dite chemise lors de quelque passe acrobatique, est-ce Manèche qui, accouru aussitôt pour porter assistance à son pote Guy,  tira un peu trop fort sur les coutures pour essayer de tout remettre en place ? Le mystère reste entier !

Las, quelques passes taurines remirent un peu d’ordre dans cette belle assemblée qui se dirigea vers le Pont du Pin prête à affronter les Forces de l’Ordre qui étaient déjà couchées à cette heure tardive.

Moralité : si vous ne voulez pas souffler, couchez vous un peu plus tard !

 

Encore merci à tous ceux qui ont œuvré pour la pleine réussite de cette soirée !

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